- Afin d’opter le régime d’imposition pour la déclaration de ses revenus fonciers, le propriétaire doit choisir entre :
- Le régime de micro-foncier qui s’applique dans le cadre d’une location non meublée avec une revenue qui n’excède pas de 15 000 €.
- Le régime réel qui est destiné au revenu locatif qui dépasse le 70 000 € / an

Si vous mettez en location votre bien immobilier, le règlement fiscal oblige le propriétaire de déclarer les revenus à l’administration fiscale. C’est à partir du montant des revenus perçus de l’investissement locatif que l’on doit déterminer le type de régime d’imposition qui correspond à vos revenus locatifs et pour vous donner droit à différents abattements. Vous déclarez les rendements fonciers dans la case 4BE. Bien que la plupart retirent la majorité de leurs revenus à partir d’une activité locative, beaucoup de ménages prévoient aujourd’hui la location comme un meilleur moyen de percevoir des revenus annexes. Pour les loyers hors charges qui entrent dans le cadre de la location non meublée et que le montant n’excède pas 15 000 €, vous bénéficiez du régime simplifié appelé micro-foncier. En choisissant le régime réel pour votre location meublée, vous bénéficiez d’une déduction de la taxe habitation sur le revenu locatif comme les travaux et l’entretien, les assurances et la taxe foncière. Vous êtes redirigés automatiquement du régime réel si vos revenus dépassent le 70 000 € / an. Pour de plus amples informations sur le sujet, consultez également notre article : déclarer ses revenus locatifs en micro foncier

Déclarer ses rentes foncières
Si vous percevez des loyers provenant de placements immobiliers, ceux-ci doivent être portés sur votre déclaration d’impôts. Ainsi, plusieurs régimes d’imposition sont possibles. Ces revenus sont soumis aux cotisations sociales provenant des revenus locatifs des charges sociales.
Ils sont définis en fonction du montant perçu durant l’année civile ainsi que la nature de la location. La déclaration de ses rendements fonciers doit suivre plusieurs étapes :
- Déterminer des revenus fonciers annuels avant de déclarer ses locatifs
- Opter le bon régime fiscal pour déclarer vos revenus fonciers afin d’avoir une réduction d’impôt
- Visualiser votre avantage fiscal
- Compléter votre déclaration des revenus
Pour les monuments historiques, les revenus fonciers sont soumis à un régime spécifique. Les propriétaires de ces monuments bénéficient d’avantages en matière de déduction des charges et de transmission.
Comment alléger votre impôt sur le revenu ? Pour le savoir, consultez également notre article : impôts !

Déclarer son revenu de location avec le dispositif Pinel ?
Les propriétaires doivent informer l’administration fiscale des revenus locatifs qu’ils ont perçus.
La loi Pinel est un dispositif d’exonération d’impôt foncier, afin de bénéficier de l’abattement fiscal du dispositif Pinel, il est indispensable de déclarer l’opération dans le cadre de la déclaration de revenus. La loi Pinel permet aux particuliers, qui font l’acquisition d’un logement neuf, de bénéficier d’une réduction d’impôts fonciers.
FAQ
Dans ce cas, il doit remplir l’imprimé déclaration 2044 spéciale. Cette déclaration concerne plutôt les biens immobiliers bénéficiant du régime spécial.
Nos autres articles peuvent également vous intéresser :
- Comment sont imposés vos loyers perçus au 1er janvier : revenus fonciers option micro foncier
- Comment réussir son investissement dans le locatif : déduire taxe habitation revenus locatifs
- Comment optimiser le revenu foncier perçu par un foyer fiscal investisseur : revenus locatifs charges sociales
Si les recettes sont supérieures aux dépenses, on parle du résultat positif. On parle au contraire d’un déficit foncier si l’inverse se passe, c’est-à-dire les recettes sont inférieures aux dépenses.