Revenus fonciers pour non résidents

L’immobilier locatif devient une source de revenu très intéressant pour les Français, mais également pour les non-résidents. Grâce à lui :
Vous aurez la possibilité de développer votre patrimoine.
Vous générerez des revenus passifs.
Vous vous préparerez pour une bonne retraite.
Et sécurisez votre famille.

Toutefois, certaines conditions sont à respecter pour mener à bien votre projet. Bien choisir le bien à acheter, trouver des bons locataires et surtout bien choisir son régime fiscal. En effet, l’imposition des rendements fonciers peut devenir décourageante avec le risque de double taxation. Mais fort heureusement, si vous habitez dans un pays qui a conclu une convention fiscale avec la France, cette menace est caduque. Avec l’inexistence de CSG CRGS pour les non-résidents, l’investissement immobilier locatif peut devenir intéressant pour un non-résident. Pour savoir comment réussir votre investissement dans le locatif, comment investir dans votre résidence principale et percevoir des revenus immobiliers, consultez également notre article : plus-value cession immeuble LMNP

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L’imposition des rendements fonciers des non-résidents

Les personnes qui ont choisi de domicilier leur impôt en France, même s’ils sont des non-résidents, sont soumises à l’impôt français sur la totalité de ses revenus qu’il soit de source étrangère et française. En revanche, si vous avez opté pour un domicile fiscal en dehors de France, seuls vos rendements fonciers de sources françaises subites l’imposition de France les autres rétributions sont défiscalisées.

Si vous mettez en location un bien immobilier en France et que vous habitez ailleurs, les rendements fonciers y sont toujours imposables qu’il y ait convention ou non.

  • Les règles de calcul des rendements fonciers sont les mêmes pour tout le monde
  • Les rendements fonciers sont soumis au barème progressif, mais avec un taux minimum de 20 %
  • Le non-résident peut choisir entre le régime réel et micro foncier
  • En plus, on y ajoute également un prélèvement social

Comme ceux des Français habitants en France, l’année fiscale des non-résidents commence le 1er janvier et se termine le 31 décembre. En revanche, ils ont jusqu’au 18 mai à minuit pour faire leur déclaration de l’année précédente.

Grâce aux dispositifs de défiscalisation immobilière, vous pouvez réduire vos impôts jusqu’à plus de 21%. Pour comprendre leur système, consultez également notre article : défiscalisation

Optimiser l’investissement dans le locatif peut être difficile pour un expatrié

Investir dans l’immobilier locatif n’est déjà pas facile quand on habite en France. Pour les non-résidents c’est encore compliqué. Certains pièges sont à éviter si vous voulez réussir dans cette activité. Si vous avez souscrit un emprunt pour l’avoir, vous devez en même temps prendre une assurance vie. Ce sera une garantie pour votre établissement financier, mais cela enlèvera également une épine à votre famille s’il vous arrive quelque chose.

Les locations meublées sont les meilleures solutions pour investir dans l’immobilier si vous n’habitez pas en France. Que ce soit un LMP ou LMNP, l’impôt est moins lourd par rapport à un investissement locatif nu. Faire appel à un SCPI est également une solution des plus avantageuses si vous n’habitez pas en France.

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FAQ

C’est un accord passé entre deux nations sur la fiscalité de ses non-résidents. Elle empêche à un foyer social de subir une double imposition s’il dispose une source de revenus dans son pays d’origine et son pays accueillant.

Du moment que vous avez un revenu locatif et que vous avez choisi le régime micro foncier, l’abattement reste toujours applicable.

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