Que faire du déficit foncier

Trouver une méthode de réduction d’impôts est indispensable à tout particulier ayant décidé d’investir dans quelque chose de solide et durable. Le déficit foncier paraît être une bonne idée.

Avant de recourir et ainsi de pouvoir jouir des privilèges de cette méthode, il est important de savoir :
Comment elle fonctionne.
Comment la calculer.
Comment éviter un redressement fiscal.

En France, de nombreuses personnes trouvent avantages dans l’investissement immobilier. Et ils ont bien raison. En effet, le secteur immobilier est prometteur en termes de rentabilité financière. De plus, il bénéficie de plusieurs dispositifs de défiscalisation, lesquels proposent des taux de réduction fiscale importants sur les revenus imposables. Que vous choisissez d’investir dans l’ancien, le neuf ou les monuments historiques, vous pourrez considérablement réduire vos impôts. Pour en savoir plus à ce sujet, consultez notre article : loi Monuments Historiques !

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Loi pinel
investir dans l’immobilier
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Que faire du déficit foncier ?

Comment un déficit foncier peut-il conduire à une diminution du taux d’impôts sur le revenu foncier ? Il s’agit d’un moyen qui permet aux particuliers souhaitant se lancer dans l’investissement immobilier de faire revoir à la baisse leurs impôts sur les revenus fonciers.

Il existe de nombreux dispositifs de défiscalisation immobilière, et le déficit en fait partie, si vous savez comment l’utiliser. Il y a, par exemple, la loi Malraux, la loi Monuments Historiques, la loi Pinel, la loi Censi-Bouvard, etc. Pour défiscaliser dans l’immobilier, il est impératif de bien connaître le mécanisme du déficit foncier.

Pour plus d’informations utiles sur les dispositifs de défiscalisatioon immobilière, comme la loi Malraux, sur leurs principes de réduction sur les revenus globaux, consultez également notre article : loi Malraux !

Bien comprendre le fonctionnement du déficit foncier !

On parle de déficit foncier quand les charges déductibles excèdent les revenus locatifs. La réparation du logement, les divers travaux d’entretien, les travaux réalisés, les primes payées pour assurer la maison, les taxes et intérêts, etc. sont les charges en question.

Sans les intérêts de l’emprunt, une somme maximum ou revenus globaux de 10 700 euros peut être réduite de l’ensemble du revenu imposable. Au-delà de ce montant, la défaillance sera reportée sur les revenus fonciers de l’année suivante pour une durée de dix ans. Ces charges déductibles sont d’une importance capitale pendant le calcul du déficit.

Les intérêts d’emprunt payés s’ajoutent à la liste des charges, notamment si un emprunt rattaché à une assurance vie a été contracté pour les travaux réalisés sur les biens locatifs. Il y a un ordre strict à respecter lors de la déduction de ces charges sur les loyers perçus. D’abord les dépenses liées à l’utilisation des biens mis en location, puis ceux qui sont destinées aux intérêts sur emprunt et enfin ceux qui sont associés aux rénovations des biens mis en location.

Afin de mieux optimiser ses revenus locatifs, il est également nécessaire de bien suivre les trois étapes suivantes :

  • le fait de procéder à la soustraction des revenus fonciers,
  • à la déduction sur les revenus imposables globaux
  • et enfin au report du déficit.

Cette chronologie permet de faire le bon calcul du montant des déficits fonciers qui soit imputable sur votre revenu d’investissement. Elle permet aussi de profiter à la fois des avantages fiscaux accordés par l’assurance vie, et par la méthode des déficits fonciers.

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FAQ

il s’agit d’une méthode permettant de diminuer l’impôt.

En vous lançant dans l’investissement immobilier.

Oui très avantageux même.

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