Comment estimer ses impôts foncier

Avant de régler les impôts fonciers, il est important de bien comprendre les principes afin d’éviter toute discorde avec les responsables.
Certains critères sont à prendre avec précautions telles que les recettes de moins ou plus de 15000 euros. Il vous est possible de payer vos impôts fonciers de différentes manières.

Que ce soit pour une résidence principale ou une résidence secondaire, vos rentes foncières doivent être soumises à des impôts sur le foncier en cas d’investissement dans le locatif.

Appeler impôt sur les revenus, ce type d’impôt ne sera pas calculé n’importe comment. D’ailleurs, nous allons voir l’estimation des impôts fonciers en quelques lignes.

Tout savoir sur les revenus fonciers, découvrez notre article sur revenus fonciers soumis CSG et CRDS.

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Les principes des impôts sur le foncier

Définition

Devant être évalué chaque 1er janvier, l’impôt foncier concerne l’impôt qu’un individu qui dispose d’un bien immobilier doit payer tous les ans y compris un logement principal.

L’évaluation concernera les biens réels ainsi que les biens résidentiels (logements vacants ou non) tout comme les biens non résidentiels. C’est en fonction de ces critères que l’impôt sera basé.

Qui doit payer l’impôt foncier ?

L’impôt foncier est à régler par le propriétaire d’un logement qu’il utilise comme habitation principale ou met en location. Pour la deuxième option, le calcul de l’impôt dépendra des loyers obtenus par le propriétaire.

Des solutions peuvent être recommandées par l’État en cas de déficit foncier dans le but de ne pas nuire à votre assurance vie. Notons qu’une exonération peut être validée à condition de répondre à de nombreuses conditions.

Pour optimiser votre investissement locatif : réduire ses impôts grâce à la défiscalisation.

Calcul de l’impôt foncier

Basé sur la valeur locative du logement, l’impôt foncier variera selon vos rentes foncières sur des propriétés bâties et que vous mettrez en location. Celui-ci sera alors calculé selon les dispositions mises en place par le régime du micro foncier. C’est-à-dire que vous devriez agir selon un abattement de 30 % ou en déduisant l’impôt sur la totalité des dépenses que vous ferez durant la mise en location de la maison. Sinon, vous pourriez toujours déclarer vos impôts en remplissant le formulaire 2044 sans faire la moindre faute.

Pour aller plus loin, l’impôt foncier peut concerner les revenus sur une propriété bâtie ainsi que les revenus sur les accessoires y afférents.

Le régime de micro-foncier ne sera applicable qu’avec des recettes inférieures à 15000 euros. Au-delà de cette somme, c’est le régime réel qui sera appliqué.

Le crédit immobilier ne pourra pas être considéré comme une charge déductible de vos impôts sauf cas exceptionnel. En outre, les assurances non payées durant la mise en location pourront être imposées dans l’impôt foncier.

N’oubliez pas de mentionner les travaux d’entretien que vous ferez sur le logement afin d’éviter de mauvaises surprises.

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FAQ

Les impôts sur le revenu des non-résidents doivent être déclarés selon un tout autre régime. À noter qu’ils devront avoir un foyer fiscal en France pour avoir une obligation d’imposition.

La réponse est négative. Le principe des taxes foncier est complètement différent de celui des impôts fonciers.

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